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Le Réseau FADOQ applaudit la décision de Québec de ressusciter le poste de Commissaire à la santé et au bien-être, qui doit évaluer de manière indépendante la performance du système de santé et de services sociaux.
« C’est une excellente nouvelle, pour peu évidemment que le futur Commissaire hérite des mêmes pouvoirs, notamment celui d’évaluer les impacts des politiques publiques, qu’on voulait malheureusement transférer au ministre de la Santé », commente le président du Réseau FADOQ, Maurice Dupont.
Ce dernier déplore par ailleurs que cette décision survienne à la veille des élections, au moment où le bureau du Commissaire ne compte plus aucun employé.
« On vient corriger une très mauvaise décision, mais les dommages sont nombreux, du rattrapage sera nécessaire. Et dire qu’on prétendait abolir ce poste pour économiser 2,5 M$, une goutte dans le budget de la santé », ajoute M. Dupont.
En décembre dernier, le Réseau FADOQ avait dénoncé cette décision en conférence de presse en compagnie du Conseil pour la protection des malades, de la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec – FIQ, du regroupement Médecins québécois pour le régime public et de Me Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé en droit de la santé. Les députés Amir Khadir, de Québec solidaire, et Diane Lamarre, du Parti Québécois, s’étaient joints au groupe pour se plaindre du manque de transparence du gouvernement.